Horace par Pierre Corneille - bitedition.net

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Horace

par Pierre Corneille

Le sujet de cette tragédie politique est emprunté à Tite-Live et à l’histoire des origines de Rome.

Rome et Albe sont en guerre depuis longtemps, malgré les nombreux liens familiaux qui unissent les deux peuples. Sabine, sœur des trois Curiaces, des Albins, a épousé un des trois Horaces, des Romains ; Camille, sa belle-sœur, s’est à son tour fiancée à l’un des Curiaces.

Or, pour mettre un terme aux effusions de sang, les rois des deux villes décident que le sort de leurs pays sera réglé dans un combat singulier par trois champions de chaque nation. Les trois Horaces, puis les trois Curiaces sont choisis dans chaque camp. Curiace, désespéré, n’en accomplira pas moins son devoir. Horace se réjouit de cet honneur a nul autre semblable.

Sabine, Camille et son père attendent anxieusement l’issue du combat. Une confidente, Julie, accourt : elle a vu tomber deux des Horaces et le troisième, l’époux de Sabine, fuir devant les Curiaces qui le poursuivent. Le vieux Horace s’indigne, maudit le lâche et se propose de le tuer ; mais on apprend que la fuite d’Horace n’était que une ruse pour disperser ses adversaires, plus ou moins blessés ; il a pu ainsi les vaincre aisément.

Rome triomphe et le vieillard se réjouit malgré la mort de deux de ses enfants et la tristesse farouche de Camille. Celle-ci, quand parait son frère, couvert des trophées des vaincus, le maudit et appelle sur Rome la colère des dieux. Horace, furieux, la tue.

Cependant, le vieux Horace reproche à son fils la mort de Camille. Horace accepte le châtiment que son père jugera bon de lui infliger. Mais le roi apporte au vieillard ses félicitations et ses consolations. Il entend Valère, amoureux de Camille, qui demande la punition du coupable. Celui-ci d’ailleurs ne se refuse pas à sauver par sa mort sa gloire de sa victoire. Sabine s’offre à périr à sa place.

C’est alors que le vieil Horace prend la parole : le patriotisme, doit l’emporter sur tous les autres sentiments ; on ne saurait condamner le sauveur de Rome. Le roi Tullius partage cet avis et absout le jeune Horace.

fin

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